Corrections :
L'EN VERT DU NUMERIQUE
Une entreprise est dite adaptée lorsqu'au moins 55 % de son effectif global se constitue de salariés en situation de handicap. Venez visiter l'une d'entre elles, ATF GAIA, spécialisée dans le recyclage informatique.
ATF GAIA a pour objectif de récupérer des parcs informatiques chez des entreprises qui souhaitent s'en séparer. Jessica, responsable des achats, est chargée de racheter ce matériel aux entreprises. Il sera ensuite vendu une fois que toutes les données internes auront été effacées
Driss, directeur de production handicapé par des problèmes de dos, nous explique comment le système de production s'adapte à tous les employés aussi bien ceux en situation de handicap que les autres. Comme Driss nous le dit si bien « il n'y a pas que le handicap qu'il faut adapter, la pénibilité du travail pour tout salarié doit être adaptée, si on a la banane, si le travail est moins pénible, la productivité est plus grande ». Driss surveille ainsi le système de production du recyclage informatique. Il doit améliorer la coordination des différents services de l'entreprise et la qualité de travail des salariés afin d'augmenter la production.
Thomas, adjoint de la production technique est en charge d'effacer les données des équipements informatiques. Pour lui, collaborer dans son travail avec des personnes en situation de handicap est valorisant et donne du sens à son travail. Enfin, l'aspect écologique du métier le rend fier de ce qu'il fait.
Ainsi, l'écologie et l'informatique ne sont pas deux notions qui s'opposent. L'idée d'un numérique vert prend forme.
Métiers présentés :
NUMERIQUE
Samantha, cheffe de projet, est la personne référente auprès des clients : elle est responsable de réaliser un audit pour comprendre leurs besoins, traduit leurs demandes à son équipe, gère le projet (répartition des tâches, budget, planning...) puis supervise l’installation des logiciels chez les clients.
Ida, développeuse, conçoit les applications et logiciels grâce à sa maîtrise des langages de programmation. Une fois le logiciel terminé, il est envoyé à Tiphanie qui est technicienne test logiciel dans un bureau d’étude.
Elle fait preuve de méthode pour rechercher les bugs et tester les fonctionnalités avant la livraison aux clients.
C’est ensuite à Romain, conseiller support technique, d’assurer le suivi auprès des clients et d’échanger avec eux pour trouver des solutions à leurs problèmes techniques.
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Sylvia est électricienne-câbleuse, elle est donc capable de réaliser un ouvrage en suivant les directives d’un plan. Cela exige de la patience, de la rigueur et de la minutie.
Jérémie occupe quant à lui la fonction d’automaticien-roboticien. En premier lieu, il réalise une phase d’étude puis programme des automates et robots en fonction des besoins des clients. Il crée également les interfaces homme-machine pour que les utilisateurs puissent les contrôler plus facilement.
Jean-Christophe, en tant que dessinateur-projeteur, a également un rôle important car il a la responsabilité d’imaginer physiquement les pièces demandées par les clients et de faire en sorte qu’elles répondent à leurs besoins. Il doit se montrer curieux et rester au fait de l’actualité pour rester innovant.
Yves, le mécanicien-monteur, intervient en bout de chaîne de production : il réalise le montage puis teste le robot vendu au client. Si tout fonctionne comme prévu, il démonte les pièces, se rend chez le client et remonte sur place la machine industrielle. Son métier exige donc des déplacements fréquents et un grand sens du détail.
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